En véritable orfèvre de la monétique intégrale en Afrique, Valentin Mbozo’o bénéficie d’une solide expertise dans le domaine, de sa part sa brillant formation et son fulgurant cursus professionnel ; Rien ne le prédestinait pourtant pas à une telle longévité lorsqu’il est nommé au poste de directeur général du Gimac le 20 novembre 2012. Valeur sûre de la monétique intégrale ne Afrique, Valentin Mbozo’o a su capitaliser sa très large expérience de plus de 20 ans engrangée dans la banque monétique au sein de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Originaire de la Région du Sud dans la Dja et Lobo, le Dg du Gimac aura été précédé par une réputation d’homme compétent à son arrivée au sein du groupement. Que ça soit comme sous-directeur Informatique à la CBC Bank entre 2003 et 2005, ou encore chef du département Informatique à ECA, Cabinet d’audit et conseil. L’ancien Directeur technique à la société monétique de l’Afrique centrale (Smac) entre 2007 et 2008 et directeur des Systèmes d’information (DSI) à la commercial Bank Cameroun (CBC Bank) de 2005 à 2007 poursuivra son inexorable voracité fonctionnelle.
LE GRAAL DECROCHE.
Avec le graal décroché lorsqu’il est nommé chef de projet dans la réforme des systèmes et moyens de paiement conduite par la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC), dans la sous-région , ou encore lorsqu’il devient consultant et directeur du Centre de personnalisation des cartes bancaires à l’office monétique de l’Afrique centrale (Omac) entre 2008 et 2012). Acteur incontournable du système de monétisation en Afrique centrale, Valentin Mbozo’o s’appuie sur un cursus académique élogieux. En effet, après de brillantes études primaires et secondaire au Cameroun, couronnées par un baccalauréat série C obtenu au Lycée Sangmélima, il s’envole pour la France. Il obtient un master en Modélisation et simulation mécanique à l’Université Pierre et Marie Curie (Paris IV), avant d’être admis à l’institut national des télécommunications de Paris au terme d’un concours très sélectif. Il en sortira quelques années plus tard, nanti du diplôme d’ingénieur en Télécoms et management. Valentin Mbozo’o intégrera par la suite le très prestigieux Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) de Paris, d’où il en ressortira avec un diplôme d’études approfondies en conception des systèmes informatiques. Choix judicieux, Valentin Mbozo’o décide alors de rentrer en Afrique pour mettre ses compétences au service du développement du continent. Un choix judicieux et un exemple à suivre, salué aujourd’hui à la Cemac et au sein du Gimac.